Enfin, pas tout à fait, car pour le moment, l'endettement, non étudié au préalable, reste plus que toléré. Et c'est intolérable !
Il faut réfléchir rapidement aux conséquences d'un compte en banque dans le rouge.
Selon moi, elles doivent être globalement les suivantes :
on ne peut enchérir sur un joueur en vente que dans la limite du budget transfert (c'est évident, mais vu qu'on a des contre-exemples très récents...) le centre de formation n'est actif que si la trésorerie le permet.Plus précisément, lors d'une mise à jour :
- les recettes sont réparties sur les deux cagnottes (pourcentages respectifs)
- ensuite, les salaires sont payés depuis la trésorerie
- ensuite, si à la suite de ce processus, le coût du centre de formation est supérieur au total de la trésorerie, alors le centre de formation n'est pas incrémenté d'une journée
>> Possibilité de puiser dans le budget transfert au besoin ?
régulièrement (fréquence à définir), en cas de caisse négative, le club devra échanger autant de joueurs de l'équipe que nécessaire contre leurs valeurs défifoot afin de rééquilibrer les financesPlus précisément, en cas de trésorerie négative :
- si le budget transfert est positif, il est utilisé pour combler le déficit de la trésorerie (jusqu'en totalité si besoin)
- si le budget transfert est négatif (cas improbable ?), la dette est déplacée vers le déficit de la trésorerie
- ensuite, tant que la trésorerie est négative, le club va devoir se séparer de certains de ses joueurs, contre argent
>> Les joueurs "sacrifiés" le sont-ils aléatoirement ou choisis par le manager (la deuxième option me semble plus intéressante)
>> Les joueurs "sacrifiés" sont-ils échangés contre leur valeur marchande nette, ou seulement un pourcentage de celle-ci (mettons 80%, après règlement des agios au banquier Cohen)
Voilà, le sujet est posé !
PS : bien entendu, de telles sanctions ne seront applicables qu'une fois que l'économie globale sera stabilisée.
